Le SNIRS sera présent aux élections de renouvellement du CA du CNRS du 22-29 septmbre 2025.


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Le SNIRS-CFE-CGC présente une liste au CA du CNRS et voici les candidats :

Catherine Brenner, Biologiste, spécialiste du métabolisme, des mitochondries et de la mort cellulaire dans le cancer, DR1 CNRS. Entrée au CNRS en 2001, créatrice et directrice de l’UMR CNRS9018 depuis 2020, institut Gustave Roussy, Université Paris Saclay.

Olivier Mbarek, Ingénieur d’études LIRIS UMR5205, Docteur en Sciences de la vie et reconverti en Informatique en 2020 après 20 ans dans le privé. Entré au CNRS en décembre 2021 à l’issue d’une formation en Informatique pour gérer une plateforme de Calcul et Stockage en tant qu’Ingénieur d’études.

Céline Menant, IEHC CNRS, entrée au CNRS depuis 2002, a travaillé pendant 16 ans au siège du CNRS et occupe actuellement la fonction de Secrétaire générale du Centre d’Economie de la Sorbonne CES UMR8174.

Willy Bienvenut, chimiste, spécialiste en protéomique du végétal, CRCN. Entré au CNRS en 2012. Chercheur et responsable scientifique adjoint sur la plateforme PAPPSO, GQE le Moulon, Université Paris Saclay, INRAE, AgroParisTech.

Christine Vurpillot, IEHC CNRS, Diplômée d’une École de Gestion et de Commerce, a travaillé 13 ans dans le privé. Entrée au CNRS en 2010. Administratrice de l’UMR6634 (Groupe de Physique des Matériaux) à Rouen.

Sylvain Picaud, physicien (physique moléculaire), spécialiste de la modélisation des interactions gaz/surfaces dans les atmosphères planétaires, entré au CNRS en 1993, Directeur de recherche (DR1) au CNRS ; Affecté actuellement à l’UMR 6213 “Institut UTINAM”, à Besançon. Ancien directeur d’unité (2012-2023)

Le programme

Maintenir la présence du CNRS sur tout le territoire national, aux côtés des partenaires universitaires ; déployer une politique scientifique qui s’appuie sur les exercices de prospectives des Instituts et favoriser l’interdisciplinarité.

Maintenir un niveau de recrutement important d’agents titulaires permettant d’anticiper les départs à la retraite des prochaines années.

Valoriser l’engagement de tous les agents par un accompagnement prenant en compte les aspirations professionnelles et le déploiement d’une politique de promotions transparente et juste, tout au long de la carrière.

Faire un bilan objectif de la vague de dématérialisation qui ne simplifie pas les process administratifs et aboutit à une déshumanisation du travail (ex: Etamine, Notilus, Geslab, Webcontrat…).

Déployer une politique sociale de qualité, en y attribuant les moyens financiers indispensables (aide au logement, aide à la mobilité géographique, garde d’enfants, activités de loisirs…).

Permettre l’accession d’un plus grand nombre de femmes aux postes d’encadrement supérieur ; lutter contre la persistance d’auto-censure dans les demandes de promotions et de primes ; en finir avec les “plafonds de verre”.

Lutter contre toutes les formes de discriminations (sexisme, handicap, origine géographique, orientations affectives et sexuelles, etc): nommer des correspondants dans les laboratoires, sensibiliser les personnels à toutes les formes de handicap (en particulier, handicaps invisibles et/ou psychiques) et déployer systématiquement, au plus près des équipes concernées, des formations à l’accueil des personnels en situation de handicap.

Défendre des choix financiers qui permettent une politique de prévention à la hauteur des exigences en matière de santé et sécurité au travail.


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